Voici les questions les plus courantes auxquelles nous avons été confrontés...
N'hésitez pas à nous contacter si vous désirez en savoir davantage ou si votre question n'est pas reprise ci-dessous. Nous nous ferons un plaisir d'y répondre et d'ajouter les plus courantes à la liste ci-dessous.
L'abeille est un insecte capable de piquer grâce à son dard. Cependant, sa morphologie implique que celui-ci reste coincé dans la peau après la piqure, ce qui conduit à la mort irrémédiable de l'abeille. L'abeille ne va donc piquer qu'en dernier recours contrairement à d'autres insectes comme les guêpes ou les frelons.
Les piqures d'abeilles sont relativement rares (même pour un apiculteur) et n'arrivent que lorsque l'abeille se sent en danger. L'abeille n'est pas agressive et ne pique que pour se défendre.
Nous travaillons avec des races d'abeilles sélectionnées pour leur douceur et leur très faible propension à piquer. De plus, nous élevons nos colonies dans un soucis constant du respect et bien-être animal ce qui limite très fortement les risques d'agressivité.
Les ruchers installés chez vous sont mis en place de façon à répondre aux besoins de l'abeille ainsi qu'à ceux de ses voisins, humains ou animaux, en toute sécurité pour chacun. Nous n'installerons pas de ruche si nous pensons qu'un risque important existe pour vous, vos voisins ou vos animaux.
Comme mentionné dans la question précédente, l'abeille en général n'a pas de comportement agressif. De plus, nous travaillons avec des races d'abeilles sélectionnées pour leur douceur et leur très faible propension à piquer.
Une colonie d'abeilles peut tout à fait être installée dans une prairie accueillant des animaux comme des chevaux, vaches, moutons, ... Le risque pour les animaux environnant est extrêmement faible. Lorsqu'un de nos projets implique la cohabitation avec des animaux, nous proposons systématiquement un rucher avec l'orientation adéquate et des distances suffisantes pour permettre une cohabitation harmonieuse et sans risque majeur pour les animaux.
Sur base de la réglementation wallonne en vigueur, une distance d’au moins 20 mètres par rapport à une habitation voisine ou une voie publique doit être respectée. Cette distance est ramenée à 10 m en présence d’un écran de 2 m de haut (haie, mur, ...). Nous intégrons systématiquement cette règlementation dans nos projets et prenons également en compte les contraintes et les souhaits de nos partenaires afin que la cohabitation avec nos abeilles soit sereine et agréable pour tous.
Cela dépend du nombre de colonies et des requis de chaque projet. Chaque projet va être évalué au cas par cas pour vous fournir l'offre la plus optimale pour vous et pour nos abeilles.
De façon générale, pour un rucher de 2 colonies 'adulte', nous comptons typiquement un espace de 3 m sur 3 m intégrant ~2m de distance entre la ruche et la zone accessible sans désagrément. Chaque colonie utilise un espace de 50 cm sur
50 cm.
Pour le placement dans un jardin ou une prairie, nous suggérons la plupart du temps de placer un fil, un grillage ou une barrière autour de la zone 'rucher'. Une haie fleurie peut également être proposée afin d'augmenter l'attrait pour nos abeilles et embellir la zone.
Nous proposons la pose de ruches en bois traité avec des lasures naturelles. La couleur peut varier et sera typiquement différente d'une ruche à l'autre afin d'aider nos abeilles à retrouver leur ruche au retour de butinage.
Les ruchettes peuvent parfois être posées en début de projet ou apparaitre dans le rucher en cours de saison. Il s'agit d'une 'petite' ruche contenant une colonie qui n'a pas encore atteint sa taille maximale.
Nos ruches sont, de base, posées sur des blocs en béton avec une légère pente vers l'avant. D'autres supports, plus esthétiques, peuvent vous être proposés en option (exemple: support en bois fixé au sol)
Nos abeilles sont des voisines paisibles qui ne vous dérangeront pas tant que vous restez à une distance raisonnable de la ruche (une distance de minimum 3m de la ruche est conseillée).
Hom'Ney s'occupe entièrement des colonies posées chez vous. Vous n'avez aucune action à réaliser.
Il vous est évidemment demandé de ne pas volontairement attaquer les abeilles ou leurs ruches. Il est également demandé de suivre les recommandations d'utilisation des produits chimiques que vous pourriez utiliser pour pulvériser vos plantes (voire d'éviter d'utiliser ceux-ci). De façon générale, on évitera de pulvériser une plante en fleurs (d'autant plus en journée) afin de ne pas contaminer les butineuses.
Si vous observez un comportement inhabituel de nos abeilles, vous êtes invités à nous contacter afin que nous évaluions si une visite de notre part est nécessaire.
Nos abeilles font partie des insectes butineurs. En recherchant le nectar et le pollen des fleurs, les abeilles emportent une partie du pollen de fleur en fleur ou d'un arbre à l'autre ce qui permet la fécondation des fleurs et le développement des fruits et graines.
Une colonie d'abeilles va ainsi aider l'ensemble de la flore environnante mais elle va également favoriser l'apparition d'un écosystème renforcé. Les prédateurs comme les oiseaux insectivores vont régulièrement prélever des abeilles, en particulier les vieilles abeilles en fin de vie ou celles emportées par les jeunes abeilles en dehors de la ruche. Ces vieilles abeilles vont également favoriser le développement d'autres animaux qui vont s'en nourrir en s'installant au pied des ruches.
Nous pratiquons une apiculture respectueuse de l'environnement, favorisant les ruchers de petite à moyenne taille afin de ne pas mettre de pression sur les ressources en fleurs. Si nous détectons des ressources environnantes (3 à 5 km de distance) trop limitées, nous ne proposons pas de projet apicole à cet endroit. Il est intéressant de noter que chaque espèce d'insecte a une préférence pour certaines fleurs ce qui favorise aussi l'absence de compétition et la saine cohabitation.
Dans un environnement présentant des sources de fleurs limitées et surexploitées (comme dans certaines grandes villes) ou lorsque plusieurs apiculteurs professionnels réalisent de l'apiculture intensive dans la même zone (plaçant plusieurs centaines de colonies au même endroit), une certaine compétition au niveau des ressources peut apparaitre et être néfaste pour les autres pollinisateurs (bourdons, abeilles solitaires, certaines mouches, ...). Hom'Ney s'inscrit dans la démarche opposée afin de ne garder que les aspects positifs apportés par nos abeilles.
Seule une petite partie des abeilles sort de la ruche. Chaque ouvrière change de travail en fonction de son âge, basculant d'un rôle de nettoyeuse à un rôle de nourrisse pour les larves ou la reine ou encore un rôle de bâtisseuse (fabriquant la cire) pour n'en citer que quelques-uns. Les abeilles les plus âgées vont se charger de ramener les matériaux nécessaires à la colonie en sortant de la ruche. Ce sont celles que vous voyez rentrer et sortir de la ruche durant toute la journée.
Les abeilles les plus âgées vont se charger de butiner les fleurs afin d'en ramener le nectar (source de sucres) et le pollen (source de protéines). Elles vont également ramener du miellat (source de sucres), de l'eau et de la résine qui permettra de fabriquer la propolis qui enduit l'ensemble de l'intérieur de la ruche (antibactérien jouant le rôle d'isolant pour le nid). Les plus jeunes abeilles vont également sortir les déchets de la ruche et effectuer des vols 'de reconnaissance' afin de se repérer et préparer leur future fonction de butineuse.
Il s'agit des jeunes abeilles qui effectuent un vol de 'reconnaissance' afin de préparer leur future fonction de butineuse qui nécessite de pouvoir revenir à la ruche après être allée butiner dans un rayon de 5 km autour de la ruche.
Ce vol de 'repérage' (aussi appelé vol d'orientation) est typiquement effectué par plusieurs dizaines d'abeilles en même temps et dure souvent quelques minutes. Ce phénomène est souvent appelé: "soleil d'artifice" car les abeilles se placent devant le trou de vol (entrée de la ruche) comme des rayons autour du soleil.
L'abeille est un insecte capable de piquer grâce à son dard. Cependant, sa morphologie implique que celui-ci reste coincé dans la peau après la piqure, ce qui conduit à la mort irrémédiable de l'abeille. L'abeille ne va donc piquer qu'en dernier recours contrairement à d'autres insectes comme les guêpes ou les frelons.
Les piqures d'abeilles sont relativement rares (même pour un apiculteur) et n'arrivent que lorsque l'abeille se sent en danger. L'abeille n'est pas agressive et ne pique que pour se défendre.
Nous travaillons avec des races d'abeilles sélectionnées pour leur douceur et leur très faible propension à piquer. De plus, nous élevons nos colonies dans un soucis constant de respect et bien-être animal ce qui limite très fortement les risques d'agressivité.
Les ruchers installés chez vous sont mis en place de façon à répondre aux besoins de l'abeille ainsi que ceux de ses voisins, humains ou animaux, en toute sécurité pour chacun. Nous n'installerons pas de ruche si nous pensons qu'un risque important existe pour vous, vos voisins ou vos animaux.
En hiver, les abeilles restent dans leur ruche. La reine stoppe la ponte dès la fin de l'automne et les abeilles se regroupent en grappe afin de maintenir une température stable permettant à chaque individu de survivre en attendant le printemps. Durant cette période, les abeilles vont vivre sur leur réserve de nourriture. L'apiculteur aura pris soin d'évaluer si cette quantité est suffisante et la compléter afin d'éviter la famine avant les premières fleurs de printemps.
A chaque journée un peu plus chaude et/ou ensoleillée, vous constaterez que quelques abeilles sortent de la ruche. Elles vont profiter de ces quelques jours pour nettoyer la ruche des déchets accumulés, faire un vol de propreté afin de faire leurs besoins à l'extérieur et rentrer un peu d'eau pour liquéfier le miel qui aura trop séché.
Les abeilles que tout le monde connait sont les ouvrières, c'est à dire les abeilles femelles 'stériles' (elles ne pondent pas d'œufs). Ces ouvrières vont travailler pour la colonie toute leur vie (une vingtaine de jours de vie adulte sauf durant l'hiver) en changeant de fonction en fonction de leur âge. Seules les plus âgées sortent de la ruche pour butiner les fleurs, ce sont les butineuses.
Seules les personnes chanceuses qui ont une ruche dans leur jardin connaissent l'abeille mâle appelée le 'faux-bourdon'. Plus gros et trapu, avec une grosse tête et de très grands yeux, le faux-bourdon passe de ruche en ruche afin d'être présent au moment où la reine doit s'accoupler. En dehors de ces moments, on l'observera principalement dans la ruche ou à l'entrée de la ruche lorsqu'il se déplace entre les colonies.
La reine est la seule abeille qui pond et se reproduit dans une colonie saine. Après sa naissance, elle ne sortira généralement qu'une seule fois pour s'accoupler en vol avec une vingtaine de faux-bourdons provenant de plusieurs ruches. Elle commencera ensuite à pondre, jusqu'à 2000 œufs par jour, en fonction des apports de nourriture et de la saison.
Une ouvrière a une durée de vie d'une vingtaine de jours sous sa forme adulte. En fin de vie, elle meurt et son cadavre est éliminé de la ruche par les autres ouvrières. Il est donc parfaitement normal de constater quelques abeilles mortes au pied de la ruche tant qu'une 'hécatombe' n'est pas observée brusquement.
Lors des chaudes journées d'été ou durant les premiers jours de printemps, les besoins en eau de la colonie sont important. L'eau est utilisée par les abeilles pour boire mais également pour réguler la température du nid. L'intérieur de la ruche est en effet maintenu à une température constante de 34-35°C durant toute l'année (sauf en hiver vu l'absence de ponte). Le refroidissement de la colonie consomme beaucoup d'eau qui doit être ramenée par les butineuses (jusqu'à 1,5L par jour).
Pour aider les abeilles (et éviter qu'elles ne gênent éventuellement vos voisins qui se baignent dans leur piscine), nous vous conseillons de prévoir un abreuvoir avec des brins de pailles, des morceaux de bambou ou des bouchons de liège. Les abeilles iront y chercher l'eau nécessaire, favorisant les abreuvoirs les plus proches de leurs ruches.
Les abeilles vont parfois se regrouper sur la planche de vol (l'entrée de la ruche) pour réguler la température de la ruche en battant des ailes ou pour marquer l'entrée avec leur phéromone. On constatera aussi des regroupements si la colonie se sent attaquée (par exemple en cas d'attaque de frelons asiatiques). Dans ce dernier cas, n'hésitez pas à nous appeler afin que nous installions des protections.
Cependant, lors de fortes chaleurs estivales, on pourra parfois observer qu'une grande quantité d'abeilles est sortie et forme une grappe en dessous de la planche de vol. On dit que la colonie fait 'la barbe'... Les abeilles sont nombreuses en été et leur proximité entraine une surchauffe dans la ruche. Les abeilles sortent donc et s'agglutinent dehors pour permettre aux ouvrières de réguler la température. Une fois la température revenue à la normale, toutes les abeilles vont rentrer dans la ruche.
Les abeilles vont butiner les fleurs environnantes jusqu'à 5 km autour de la ruche et en ramener du nectar et du pollen. Ces deux ingrédients seront stockés séparément dans la ruche afin de nourrir la colonie.
Le nectar sera progressivement transformé en miel grâce à des enzymes des ouvrières 'magasinières' qui vont aussi se charger d'éliminer l'excédent d'eau contenu dans le nectar (passant de +/- 90% d'eau à moins de 20%). C'est ce phénomène d'évaporation qui va concentrer les arômes dans le miel et favoriser l'apparition de l'odeur florale caractéristique présente autour des ruches. A noter que les chanceux qui participent à une visite de ruche avec un apiculteur seront étonnés de l'intensité de cette odeur lorsque la production de miel par la colonie est à son maximum.
Le nombre d'abeilles dans une ruche dépend fortement de la saison. Il sera maximum en fin de printemps/début d'été et minimum en plein hiver.
A son apogée, on considère qu'une ruche contient entre 75 000 et 60 000 abeilles dont +/- 6000 faux bourdons et 1 reine. Une ruchette contiendra +/- 30 000 abeilles. Ces chiffres sont informatifs et ne reflète pas ce que vous observerez avec une colonie installée chez vous. En effet, seule les ouvrières âgées sortent généralement de la ruche ce qui ne représente qu'une toute petite partie des abeilles que compte la ruche.
Les abeilles vont en permanence maintenir une température constante de 34-35°C dans la ruche. Ceci n'est pas un problème pour les colonies d'abeilles 'adultes' présentant un grand nombre d'abeilles mais peut être difficile pour une jeune colonie qui contient moins d'abeilles si celle-ci a un espace de ruche à chauffer trop important. L'utilisation d'une ruchette, plus étroite, permet d'éviter ce désagrément... A noter que la ruchette ne peut être qu'un habitat temporaire pour la colonie qui se trouvera rapidement trop à l'étroit et pourrait alors décider de plier bagage et partir tous ensemble pour trouver un autre emplacement pour construire son nid.
L'abeille est un modèle d'optimisation. Elle butinera toujours les fleurs les plus proches tant qu'elles lui apportent la nourriture dont elle a besoin.
Si les fleurs à faible distance ne lui suffisent pas ou si elle a découvert un peu plus loin des fleurs qui lui apportent plus de nourriture ou un nourriture plus adaptée, elle va se coordonner avec sa colonie pour y butiner le maximum de fleurs. La distance de butinage va donc varier de 0.5 à 3 km, voire 5 kms de distance si nécessaire... l'abeille va aussi privilégier la récolte du pollen le matin ou se focaliser plus sur la récolte du nectar l'après-midi. Enfin, elle aura tendance à éviter les trajets de longue distance en fin d'après-midi pour éviter d'être coincée à distance de la ruche lorsque la nuit tombe.
Les abeilles vont sélectionner les fleurs qu'elles butines grâce aux éclaireuses. Celles-ci vont explorer les alentours de la ruche pour communiquer ensuite aux butineuses les meilleurs endroits de récolte.
Les fleurs butinées évoluent en fonction de la saison et des différentes floraison mais aussi en fonction des besoin de la colonie. Certaines fleurs (comme le coquelicot ou le pavot) produisent beaucoup de pollen, riche en protéine mais sont très pauvres en nectar (source de sucre) alors que d'autres afficheront l'inverse (comme le colza). Afin, l'abeille diversifiera les fleurs butinées afin de varier son alimentation.
A noter que l'abeille a ses préférences et butinent très peu certaines fleurs. C'est par exemple le cas des fleurs qui nécessitent une très longue langue vu la profondeur de la fleur. Ces fleurs seront alors plus courtisées par les papillons ou les bourdons... L'exemple le plus connu est le buddleia (aussi appelé arbre à papillons).
Les abeilles évitent naturellement les endroits contaminés, en particulier si une odeur désagréable est présente. Cependant, elles peuvent se contaminer en cas d'exposition de la ruche elle-même ou des fleurs butinées.
De manière générale, il est recommandé d'éviter de pulvériser des insecticides. Si cela est indispensable, il est alors important de ne pas pulvériser les plantes & arbres en fleur, en particulier la journée. On évitera également de pulvériser en contaminant les sources d'eau, ramenée par les abeilles pour abreuver la colonie.
Nos abeilles sont des insectes sociaux avec une très grande organisation. Dans le cadre de la recherche de nourriture, quelques abeilles vont prendre un rôle d'éclaireuse afin de trouver les endroits fleuris adaptés aux besoins de la ruche. De retour à la colonie, elles vont communiquer leurs informations aux butineuses qui vont sélectionner les endroits les plus adaptés. Ainsi, il est courant qu'une majorité d'abeilles de la ruche butinent le même arbre durant une période de la journée. C'est aussi grâce à ce travail coordonné que nos abeilles assurent un rôle majeur dans la pollinisation des fleurs, passant de fleurs en fleurs avec du pollen accroché à leurs poils.
Les abeilles vont butiner les fleurs qui leur apportent la nourriture la plus adaptée pour répondre aux besoin de la ruche.
Le pollen sera utilisé comme source de protéines, entre autre pour nourrir les larves. Une bonne diversité de pollens issues de fleurs de différentes variétés assure le bien être de la colonie et évite les carences.
Les pollens récoltés par nos abeilles proviennent donc d'espèces florales différentes en fonction des besoins de la ruche, de la saison et des différentes floraisons en cours. Par exemple au printemps, on passera d'un pollen vert clair de noisetier à rouge du perce-neige avant d'avoir le pollen gris du saule et orange du cerisier.
Lors de fortes chaleurs estivales, on pourra parfois observer qu'une grande quantité d'abeilles est sortie et forme une grappe en dessous de la planche de vol. On dit que la colonie fait 'la barbe'... Les abeilles sont nombreuses en été et leur proximité entraine une surchauffe dans la ruche. Les abeilles sortent donc et s'agglutinent dehors pour permettre aux ouvrières de réguler la température. Une fois la température revenue à la normale, toutes les abeilles vont rentrer dans la ruche.
Bonne nouvelle, vous avez trouvé un essaim d'abeilles. L'essaim est formé par une colonie d'abeilles qui a décidé de partir de sa ruche... Soit la ruche était devenue trop petite (ruchette) ou inadaptée soit la colonie a décidé de se diviser car contenant trop d'abeilles. Dans ce dernier cas, les abeilles élèvent une nouvelle reine et l'ancienne reine part juste avant sa naissance avec la moitié de l'ensemble des abeilles de la colonie.
Une fois partie, l'essaim se pose sur un support (souvent une branche d'arbre ou dans un buisson) en attendant que les éclaireuses trouvent un endroit adapté.
Malheureusement, les endroits adaptés pour une colonie d'abeilles sont devenus rares dans nos régions et exposent la colonie aux prédateurs et maladies qui décimeront probablement les abeilles en quelques mois ou années. Afin de les préserver, laissez nous leur donner une nouvelle maison. Contactez nous afin que nous venions récoltez l'essaim en lui offrant une ruche dans un de nos ruchers.
Si vous constatez que des frelons tournent régulièrement autour d'une de nos ruches, contactez nous rapidement. Les frelons se nourrissent du thorax des abeilles et peuvent décimer des milliers d'abeilles en quelques jours. En cas d'attaques récurrentes, nous poserons des protections autour des ruches afin d'éviter la mort de la colonie. Il est également conseillé d'agit rapidement afin d'éviter que les abeilles ne soient sous stress continu (certains frelons étant même actifs de jour comme de nuit) dû à la présence des frelons ce qui peut mener à une plus grande agressivité de la colonie.
Le miel est constitué de nectar (collecté dans les fleurs) et/ou de miellat (collecté sur les colonies de pucerons) ramenés par les butineuses. Les abeilles magasinières vont transformer ces deux substances en miel grâce à certaines enzymes qu'elles fabriquent. Le miel est également asséché par ces abeilles qui vont diminuer l'humidité de +/- 90% au moins de 20% contenu dans le miel vendu par l'apiculteur.
Le miel est récolté après des pics de fabrication correspondant à deux époques de l'année (appelées miellée) où le nombre de fleurs présentes dans l'environnement de nos régions est maximal. Ces deux récoltes donnent le miel de printemps et le miel d'été. Notre miel est extrait par centrifugation, filtré légèrement pour éviter les morceaux de cire résiduel, écumé puis mis en pot.
Le miel peut être consommé durant 2 ans après sa production. Un durcissement du miel est parfaitement normal et ne nuit pas à sa consommation. Chauffer légèrement son pot de miel tout en mélangeant permet la plupart du temps de récupérer le miel liquide.
Le miel ne pouvant être chauffé à plus de 35°C, les enzymes apportées par nos abeilles sont toujours présentes dans ce produit nature qu'est le miel. Le miel va donc évoluer dans le temps. Comme mentionné ci-dessus, le miel peut également 'durcir' via la cristallisation du glucose. En effet, le miel contient majoritairement 2 sucres, le fructose et le glucose. Ce dernier a tendance à cristalliser mais la proportion de glucose dans le miel va varier en fonction des fleurs butinées ce qui va donner une texture différente d'un miel à l'autre. Ainsi, un miel de robinier (faux acacia) va rester entièrement liquide durant 2 ans alors qu'un miel de colza sera solide après quelques jours.
Afin de rendre le miel crémeux et tartinable facilement, nous utilisons pour certains de nos produits des techniques de malaxation du miel avant sa mise en pot. Ceci permet d'obtenir de tout petits cristaux de sucre dans le miel et favoriser l'aspect crémeux du produit.
Le miel va avoir un goût, une odeur et une texture caractéristique en fonction des fleurs butinées par les abeilles. Ainsi, d'un rucher à l'autre, nos abeilles vont fabriquer des miels très différents pour le plus grand plaisir de nos clients.
Le bien-être de nos abeilles fait partie de nos valeurs principales. La récolte de miel ne se fait que sur des colonies ayant suffisamment de réserve ou de capacité de butinage pour permettre le maintien de son bien-être. Consommer le miel Hom'Ney ne met pas en danger les abeilles qui le fabrique.
Les réserves de nourriture sont régulièrement vérifiées par l'apiculteur qui prendra des mesures de précaution si celles-ci viennent à diminuer
Nous pratiquons une apiculture à échelle humaine dans le respect constant du bien-être de l'abeille. Nos façons de travailler n'engendre pas de mortalité chez nos abeilles qui sont nos meilleurs alliées. La récolte du miel se réalise sans tuer d'abeille et avec les techniques les moins stressantes pour celles-ci. Si vous désirez en savoir plus, n'hésitez pas à nous contacter ou à demander une visite de rucher. Nous nous ferons un plaisir de discuter avec vous de notre pratique apicole.
Nos abeilles récoltent également du pollen dont nous pouvons prélever une partie lorsque la colonie est suffisamment développées. Cependant, ces prélèvements sont réalisés en quantité limitée pour éviter d'impact sur le bien-être de nos abeilles.
Nos abeilles produisent de la cire afin de construire leurs rayons où elles stockent le miel et le pollen et où elles élèvent leurs larves. Une partie de la cire est renouvelée chaque année, celle-ci pouvant être prélevée et nettoyée pour fabriquer les bougies que nous proposons périodiquement à nos clients.
Nos abeilles fabriquent enfin de la propolis à base de résines végétales. La propolis peut être récoltée à l'aide de technique spécifique à certains moments de l'année, sans impact pour la colonie.
Il est conseillé de conserver le miel à température ambiante sans l'exposer à la lumière ou la chaleur du soleil. Le miel doit être stocké dans un endroit propre.
En cas de cristallisation (phénomène naturel et normal), il est possible de reliquéfier le miel en le plaçant dans un bain marie à maximum 35°C.
La cire est fabriquée par des glandes cirières situées sur l'abdomen des abeilles 'cirières'. Elles vont fabriquer la cire en consommant du miel et vont l'utiliser directement afin d'étendre les rayons de la ruche pour permettre le stockage des réserves de nourriture ou donner de la place à la reine pour pondre ses œufs.
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